Le coeur qui mène la vie
Est quelque fois maladroit,
Les nôtres nous rapprochent,
Éprouvant, mais divin à la fois
Ce souffle que je perd
à chaque fois que tu me quittes
Devient plus ample encore
quand je te sers contre moi
Si seulement sur ton visage je pouvais mettre un nom
Et que ton corps tout entier n'était fait d'illusions.
Peut-on appeler amoureux
Ceux qui ne sont aveuglés
Par les pulsions de leur coeur
À l'encontre de leur désirs ?
Certains pourraient dire que l'amour est un piège mais
Ceux qui aiment, cessent-ils un jour d'aimer ?
Pour toi je serais prêt à tout
Si tu n'avais qu'un seul visage
Mais quand tu es chagrin peur ou joie
Mon coeur ne peut s'empêcher de s'ouvrir à toi
Il ne me suffit que d'un sourire,
pour préserver ses soupirs
Je panserai ses souvenirs
La Femme est la personne que j'aime
Mais sans contrainte et sans peine
Quand enfin son coeur s'ouvrira
Je donnerai alors à celle qui m'est pour l'heure inconnue
L'amour de mon coeur et la passion de mes bras
La patience de mon être, le réconfort de ma voix
Est quelque fois maladroit,
Les nôtres nous rapprochent,
Éprouvant, mais divin à la fois
Ce souffle que je perd
à chaque fois que tu me quittes
Devient plus ample encore
quand je te sers contre moi
Si seulement sur ton visage je pouvais mettre un nom
Et que ton corps tout entier n'était fait d'illusions.
Peut-on appeler amoureux
Ceux qui ne sont aveuglés
Par les pulsions de leur coeur
À l'encontre de leur désirs ?
Certains pourraient dire que l'amour est un piège mais
Ceux qui aiment, cessent-ils un jour d'aimer ?
Pour toi je serais prêt à tout
Si tu n'avais qu'un seul visage
Mais quand tu es chagrin peur ou joie
Mon coeur ne peut s'empêcher de s'ouvrir à toi
Il ne me suffit que d'un sourire,
pour préserver ses soupirs
Je panserai ses souvenirs
La Femme est la personne que j'aime
Mais sans contrainte et sans peine
Quand enfin son coeur s'ouvrira
Je donnerai alors à celle qui m'est pour l'heure inconnue
L'amour de mon coeur et la passion de mes bras
La patience de mon être, le réconfort de ma voix